La souffrance que nous ressentons au malheur des autres nous prouve aussi combien la conservation de l’espèce est liée à la conservation personnelle et ne peut s’en séparer, puisque l’homme n’est estimable que sous la forme de résultat et de préparation. C’est ainsi que tous les hommes qui tentent de séparer leur intérêt de celui de leurs semblables en sont punis, ils se stérilisent, tranchent les liens qui les relient à leurs semblables et comme un arbre qui couperait ses racines et meurt dans ses branches ainsi ils dépérissent misérablement.